Paris, 29-30 septembre 2016

Lieu: Paris, Institut d’Histoire et de Philosophie des Sciences et des Techniques (salle de conférence), 13 rue du Four 75006 Paris

Participant.e.s:
– Thomas Bonnin ( University of Exeter)
– Renaud Fine (Université Grenoble-Alpes)
– Jean-Félix Gross (Université Lyon 3)
– Marina Imocrante  (Université Vita-Salute San Raffaele, IUSS, Université Panthéon-Sorbonne, IHPST)
– Jan Maršálek (Institut de Philosophie de l’Académie tchèque des sciences, Prague)
– Michelizza Marzia (Université Panthéon-Sorbonne, Université d’Urbino)
– M. Anthony Mills (University of Notre Dame)
– Romain Sauzet (Université Lyon 3)
– Églantine Schmitt (Université de technologie de Compiègne)
– David Waszek (Université Panthéon-Sorbonne, IHPST)

Conférencier.e.s Invité.e.s :
– Valeria Giardino (Université de Lorraine)
– Cédric Paternotte (Université Paris-Sorbonne)Programme:

Jeudi 29 septembre

À partir de 9h00 : accueil des participant.e.s

10h10. Conférence d’ouverture : Cédric Paternotte (Université Paris-Sorbonne), « Vices, vertus, consensus et succès scientifique »

Pause-café (10 minutes)
11:10 – 11:50 Églantine Schmitt (Université de technologie de Compiègne),  « Le problème de la décision dans les data sciences »
11:50 – 12:30 Romain Sauzet (Université Lyon 3),  « Valeurs épistémiques et activité scientifique »
Pause-déjeuner (1h30)
14:00 – 14:40 Jan Marsalek (Institut de Philosophie de l’Académie tchèque des sciences), « Transformations, dégradations, disparitions des objets scientifiques »
14:40 – 15:20 Renaud Fine (Université Grenoble-Alpes), « Ordonner la science dans une société démocratique »
Pause-café (20 minutes)
15:40 – 16:20 Thomas Bonnin (University of Exeter), « Utiliser des modèles en sciences historiques »
Vendredi 30 septembre
À partir de 9h00 : accueil des participant.e.s
10:00 – 10:40 David Waszek (Université Panthéon-Sorbonne),  « Lire les figures et les formules en mathématiques »

10:40 – 11:20 Marina Imocrante  (Universités Vita-Salute San Raffaele et Panthéon-Sorbonne), « Le débat actuel autour de l’applicabilité des mathématiques »

11:20 – 12:00 Jean-Félix Gross (Université Lyon 3), « Epistémologie et effet placebo »
Pause-déjeuner (1h30)
13:30 – 14:10 Michelizza Marzia (Université Panthéon-Sorbonne, Université d’Urbino) « Esprit et cerveau : localisation, causalité et contexte expérimental »
14:10 – 14h50 M. Anthony Mills ( University of Notre Dame), « Meyerson, Friedman, and Kant: the role of the a priori in science »
Pause-café (20 minutes)
15:10 – 16:10 Conférence de clôture : Valeria Giardino (Université de Lorraine), « Le rôle des artefacts cognitifs dans le raisonnement scientifique »

16h10-16h20 : clôture des RDIPS

Manifestation organisée par la Société de Philosophie des Sciences (SPS) et l’Institut d’Histoire et de Philosophie des Sciences et des Technique (IHPST) avec le soutien de l’ED Philosophie de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, l’EA Philosophie des normes de l’Université de Rennes 1, l’ED Concepts et Langages de l’Université Paris-Sorbonne et l’ED Langages, espaces, temps, sociétés de l’Université de Franche-Comté.

Comité d’organisation

Charles Braverman (Université de Lorraine, AHP)
Régis Catinaud (Université de Lorraine, AHP)
Anna Maria Dieli (Università degli Studi di Roma “Tor Vergata” – Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne)
Juliette Ferry (Université Paris IV Paris-Sorbonne)
Gabriel Giovannetti (Aix-Marseille Université)
Stefan Jokulsson (Université de Lorraine, AHP)
Victor Lefèvre (Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne)
Marie Michon (Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne)
Youna Tonnerre (Université de Rennes 1)

En collaboration avec Francesca Merlin (IHPST, Paris, vice-présidente « jeunes chercheurs » de la SPS)

Comité scientifique

Anouk Barberousse (Paris IV Paris-Sorbonne)
Soazig Le Bihan (Université du Montana)
Nadine de Courtenay (Université Paris Diderot)
Max Kistler (Paris 1 Panthéon-Sorbonne)
Thierry Martin (Université de Franche-Comté)
Cédric Paternotte (Paris IV Paris-Sorbonne)
Avec l’aide de Filipe Drapeau Contim (Université de Rennes 1)

Contact et renseignements pratiques: rdips.2016@gmail.com

14 Octobre 2016, Auditorium du Jardin Biopark (Paris 13ème)

This meeting is organized by Domenico LIBRI Eric WESTHOF, under the auspice of Aviesan, ITMO GGB – Genetics, genomics and bioinformatics – and BMSV Molecular and structural basis of life sciences – .

Guiding molecular events is one of the most important roles of the RNA molecule. From decoding of the genetic information by tRNAs, to choosing the right splicing junctions and to targeting modifications of rRNAs or specifically addressing machineries that alter the structure of chromatin or cleave RNA or DNA targets, complementary base pairing between segments belonging to the same or to different RNA molecules provides the required specificity and efficiency to guide and drive correctly these processes.

The goal of the symposium is to cover this broad area of investigation by presenting a diversified spectrum of molecular, genetic and cell biological approaches applied to a range of organisms. A poster session is scheduled to encourage discussion.
Please register (free of charge but mandatory) before 10th of October 2016, and submit your abstract before 27th September 2016.
https://rna2016.sciencesconf.org/

Dans l’industrie du casino en ligne, il est souvent dit que l’essentiel est de recréer le résultat du jeu, et non pas le jeu lui — même, son processus. Pour confirmer la validité de cette approche, les analogies suivantes sont effectuées. L’avion, par exemple, modélise, recrée le vol des oiseaux, mais l’oiseau a des ailes, et l’avion a une hélice. Et encore: la roue est très différente des pieds de manière significative, mais elle modélise la fonction essentielle des pieds – la fonction de mouvement… Du point de vue de la technique, c’est vrai, mais d’un point de vue théorique, c’est de s’éloigner du problème.

Réel et casino en ligne

Juste un vrai casino et un établissement de jeu en ligne. Dans ce casino se sent l’atmosphère de l’excitation, chauffée par tous les attributs indispensables du complexe de jeu-les visiteurs captivant les sons des machines à sous, la performance des artistes, l’agitation envoûtante du personnel de service. En mode en ligne, ce n’est certainement pas le cas. Mais est-ce moins le terrain de jeu en ligne? Pas du tout. Quand une personne joue à la maison, sans se laisser distraire par les détails connexes, il est plus facile de garder le bon sens, de ne pas « masquer ».

Les casinos en ligne viennent pour de l’argent

Qui est un client typique de casino en ligne? Qui joue aux machines à sous? Ce sont des gens qui espèrent résoudre leurs problèmes au détriment de l’institution de jeu. C’est – à-dire effectuer un dépôt et gagner-faire de l’argent facile. Attraper le bonus et retirer. Cela peut être fait facilement si vous vous connectez à casino-now.ch. Il y a un grand nombre de bonus qui attendent leurs chanceux. Beaucoup se souviennent (ou ont vu dans la présentation de diverses séries et films) du casino des années 90 et le début de zéro. Il est venu en premier lieu pour s’amuser, se détendre, « résoudre des questions ». Les casinos en ligne viennent pour de l’argent!

Stratégie

Pour gagner de l’argent, comme dans n’importe quelle affaire, une stratégie est nécessaire. Réussir à jouer sans elle est extrêmement difficile. Les créateurs du logiciel de n’importe quelle fente constituent un modèle mathématique de l’appareil, qui ne laisse pratiquement aucune chance d’être dans le plus.

Il est connu que la personne qui joue au casino en ligne doit résoudre des problèmes plus ou moins complexes et souvent développer une nouvelle stratégie de jeu. Par conséquent, ludoman doit former la capacité de résoudre les problèmes dans un temps extrêmement court et dans des conditions de stress émotionnel important.

La difficulté ici est la suivante. À la disposition du joueur, il n’y a pas de connaissance complète de toutes les situations possibles qui peuvent se rencontrer lors de la lecture de machines à sous. Par conséquent, peu importe combien de techniques et de méthodes d’action que le joueur connaissait, il peut toujours se faire attraper une telle situation dans laquelle toutes les techniques connues seront inutilisables et peuvent même être un obstacle. Par conséquent, lorsque vous jouez à des machines à sous dans un casino en ligne, vous devez former un mécanisme de jeu commun.

Mécanisme de jeu

Le mécanisme le plus optimal est d’aller au sommet local, c’est-à-dire quand il y aura un gain. Les gains seront une violation de la dispersion, et selon le modèle mathématique de la fente, il y aura une perte.

Dans tous les cas, le mécanisme du jeu de machines à sous est basé sur la théorie des essais et des erreurs. Son essence est l’exagération excessive du rôle de la recherche aléatoire et aveugle comme mécanisme de jeu. Un Gaming réussi dans ce cas, essentiellement, se résume à une chaîne d’essais, le processus de ce soi «disant « aveugle », il est inexcusable de ciblage et de prévoyance. La solution vient quand dans le processus de recherche «aveuglément  » tombent sur une bonne décision. La méthode des essais et des erreurs ou son expression-l’itération des options-continue de jouer un grand rôle dans le mécanisme du jeu.

6 juin, 10-12h: Denis Walsh (University of Toronto)

Rencontre avec l’auteur à propos de son livre : Organisms, Agency, and Evolution (2016)
Book chapters: https://www.dropbox.com/sh/fdv2h84dzgytdnx/AAB-pNlpALeTX9XYtL3zW271a?dl=0

Bibliothèque du service de Rhumatologie, 12e étage du Tripode, groupe hospitalier Pellegrin.

 

Mardi 7 juin, 12h30-13h30: Michel Morange (Centre Cavaillès, ENS Paris & UPMC): http://www.ihpst.cnrs.fr/membres/membres-associes/morange-michel

What does a ‘global history’ of biology bring to us?

(L’exposé sera en anglais, la discussion pourra se faire en anglais ou en français)

Résumé :
To write a global history of life sciences from Antiquity to extant research, from molecular biology to ecology and ethology is an impossible task, the promise to be inaccurate and wrong in many issues.
Nevertheless, the result is not without interest. It casts a new light on continuities and discontinuities in biological thought, and on the relations between biology and other scientific disciplines. It reveals the circulation of concepts and methods between biological subdisciplines, and between Society and biology. It shows the complex dynamics of biological transformations that gives biology its specific nature.

Salle : salle TP – Visio 2. Plan d’accès à cette salle : https://philosophiebiologie.files.wordpress.com/2015/01/plan-acces-visio-carreire.pdf

 

20 juin, 10h-12h : André Ariew (Department of Philosophy, University of Missouri, USA)

Sir Francis Galton, Reversion, and the Quincunx: The Rise of Statistical Explanations

Philosophical lessons learned from Galton’s statistical innovations about the nature of scientific explanation.

Salle de conférences de l’lBGC, site de Carreire zone sud, Université de Bordeaux.

Par Maureen O’Malley (Université de Bordeaux) le mardi 7 juin, à 11h00, dans la grande salle de l’IHPST (2e étage)

Dans le cadre du séminaire Philbio

Résumé: There has been a lot of discussion recently about the ‘nature’ of
holobionts (communities of microorganisms in all sorts of niches, including
the human body). I doubt this is a genuine metaphysical debate. I will show
you how certain notions of holobionts came about epistemically, and how
strong community-level notions of holobionts are being undermined as
mechanistic analyses come to the fore in this research field.

Co-Responsable du Master MEEF parcours SVT (Paris Diderot – UPEC)

Sujet : « Entre classifications fonctionnelle et phylogénétique : le groupe des végétaux. Une reconstruction didactique basée sur l’histoire des sciences dans le cadre de la formation des enseignants de sciences de la vie et de la Terre. »

La présentation aura lieu le :
mercredi 15 juin à 14h à l’université Paris Diderot- Paris 7
Amphi 4C, bâtiment La Halle aux Farines
9, 15 esplanade Pierre Vidal-Naquet 75013 Paris
M° Ligne 14 ou RER C : Bibliothèque F. Mitterrand ou Tramway 3a : arrêt Avenue de France
Plan d’accès disponible ici.

Résumé :
Cette recherche établit une dialectique entre didactique et histoire des sciences concernant les classifications biologiques, en ciblant le groupe des végétaux qui présente une multiplicité d’acceptions et une importante rectification historique. Cette étude s’inscrit dans le cadre de la formation des professeurs de sciences de la vie et de la Terre et se structure en trois enquêtes complémentaires. La première, de nature didactique, permet d’identifier à l’échelle nationale sept conceptions des végétaux dans une situation classificatoire ouverte et d’étudier les raisonnements classificatoires convoqués dans des situations de classification fonctionnelle puis phylogénétique, ainsi que leur articulation. La seconde enquête, de nature historique, donne accès à l’évolution des idées concernant le groupe des végétaux dans la systématique du XIXe siècle à nos jours. L’accent est mis sur les problèmes que les scientifiques ont cherché à résoudre en élaborant leurs systèmes classificatoires et les obstacles rencontrés. La troisième enquête consiste en l’élaboration, la mise en œuvre et l’analyse d’une reconstruction didactique fondée sur des matériaux historiques, en l’occurrence des articles scientifiques primaires. Cette expérimentation permet d’approfondir l’analyse du raisonnement classificatoire lors d’un débat et de la construction de cartes conceptuelles. Elle vise également à caractériser les conditions de possibilité d’un enseignement basé sur l’histoire des sciences et des articles scientifiques. Une synthèse des principaux obstacles impliqués dans les classifications est dressée en comparant la façon dont ils s’actualisent dans les sphères didactique et historique.

Composition du jury

Rapporteur : Mme Liliane Dionne, Université d’Ottawa (Canada)
Rapporteur : Christian Orange, Université Libre de Bruxelles (Belgique)
Examinatrice : Mme Cécile de Hosson, Université Paris Diderot
Examinateur : Guillaume Lecointre, MNHN
Directeur : Yann Lhoste, Université de Bordeaux
Co-Directeur : Stéphane Schmitt, CNRS & Université Paris Diderot

La soutenance sera suivie d’un pot dans la salle 226 C (bâtiment La Halle aux Farines)
Pour des raisons pratiques, il est recommandé de vous inscrire en cliquant sur ce lien si vous souhaitez assister. En raison des contrôles d’accès au bâtiment, une liste sera déposée aux agents de sécurité.

 

Vendredi 13 Mai, Salle de conférence à L’Institut d’Histoire et de Philosophie des Sciences et des Techniques, 13 rue du Four.

Les interventions seront tenues en anglais :

9 : 50 – Welcome of participants
10 : 00 – Jean Baptiste Grodwohl (HPS, Universidad Salvador de Bahia,), “Fisherian silhouettes: Edwards, Hamilton, Grafen”
11 : 00 – Alan Grafen (evolutionary biology, Oxford), “Should we ask for more *consistency* of Darwinism with Mendelism?”
12 : 00 – Lunch break
13 : 00 – François Rousset, (evolutionary biology, Montpellier) TBA
15 : 00 – Philippe Huneman (Philosophy, IHPST), “Darwinian teleology and inclusive fitness”
16 : 00 – Nicola Bertoldi (Philosophy IHPST), “A Newton of the Blade of Grass? Explaining and predicting evolutionary phenomena from Fisher to Grafen”

Organisé dans le cadre du programme ANR Explabio et du Laboratoire
International Associé CNRS Toronto-Montréal-Paris ECIEB ( Epistemological and
conceptual issues in evolutionary biology).