de la part des doctorants du laboratoire de paléontologie :

Amatrices, amateurs de paléontologie, bonjour !

Comme chaque année à l’occasion de la Fête de la Science, le laboratoire de paléontologie organisera l’atelier de « Moulage de fossile ». Cet atelier est rendu possible grâce à la motivation et la passion de nombreux bénévoles qu’ils soient en master, en thèse ou en poste. C’est-à-dire vous !

En quoi consiste-t-il ? Eh bien l’essentiel est dans le titre : il s’agit principalement d’aider les enfants à réaliser un moulage de fossile en plâtre. Mais ce n’est pas que ça ! C’est aussi l’occasion de leur parler des merveilles de la diversité passé, de son évolution, des métiers de paléontologue, de préparateur… et de répondre à leurs questions !

Vous l’aurez compris, si cela vous tente nous avons besoin de volontaires ! Je vous rassure rien de bien compliqué, cela ne demande aucune compétence que n’aurait pas un étudiant de master SEP. De plus ce sera pour vous une occasion de vos exercer à la vulgarisation, de partager ce savoir acquis par vos longues années d’études et de participer à la vie du Muséum. D’autant plus que cela fait une ligne de plus sur le CV toujours appréciée et facilement valorisable !

Pour ce qui est de l’organisation, l’atelier aura lieu du 14 au 16 octobre.

Le vendredi 14, l’atelier est pour les scolaires, entre 10h et 17h, le week-end est tout public, de 13h à 18h. Pour vous inscrire, c’est tout simple : envoyer donc un mail à tarbez@edu.mnhn.fr pour me faire part de votre intention de participer et indiquer sur ce doodle (http://doodle.com/poll/ewsfmpi92qck325w) la ou les journées où vous viendriez.

Nous organisons aussi une « formation » obligatoire (même aux anciens, désolé 😉 ) pour vous (re)familiariser avec les subtilités du plâtre et limiter les pertes. Deux dates sont possibles au choix entre lundi 10 et mercredi 12 (cf. Doodle). Pour ceux qui veulent ce sera aussi l’occasion de vous présenter les différents fossiles que nous utilisons.

Que la paléontologie et les amphibiens vous protègent !

Thomas Arbez & Yohan Despres

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le mardi 11 octobre 2016, à 14h00, dans l’Amphithéâtre de la Galerie de Paléontologie – Anatomie Comparée,

Évolution des sauropodomorphes basaux et diversification des dinosaures sauropodes : apport des faunes du Lesotho et cladistique comparée

devant le Jury composé de :

  • M. Jeffrey A. Wilson, Associate Professor, The University of Michigan, Ann Harbor (USA), Rapporteur
  • M. Pascal Godefroit, Professeur, Institut Royal des Sciences Naturelles de Belgique, Bruxelles (Belgique), Rapporteur
  • Mme Cecilia Apaldetti, Investigador assistente, Museo de Ciencias Naturales, San Juan (Argentine),  Examinateur
  • M. Xabier Pereda Suberbiola,  Doctor investigador, Universitad del Pais Vasco, Bilbao (Espagne), Examinateur
  • M. Nour-Eddine Jalil, Professeur, Muséum national d’Histoire naturelle, Paris, Examinateur
  • M. Pascal Tassy, Professeur émérite, Muséum national d’Histoire naturelle, Paris, Examinateur
  • M. Ronan Allain, Maître de conférences, Muséum national d’Histoire naturelle, Paris, Encadrant de thèse
  • Mme Véronique Barriel, Maître de conférences, Muséum national d’Histoire naturelle, Paris, Directeur de thèse


Résumé de la Thèse :

 

L’évolution des dinosaures sauropodomorphes et la radiation des grands sauropodes sont encore loin d’être comprises, ni même datées avec précision. Si les premiers sauropodes semblent apparaître à la fin du Trias, ils ne se diversifient qu’à partir du Jurassique moyen. L’incertitude entourant la définition à donner au clade Sauropoda est une des principales causes de l’absence de consensus quant à la transition prosauropodes – sauropodes. C’est ce problème du « stem-group » des sauropodes qui est abordé dans cette thèse. Certains prosauropodes sont ainsi aujourd’hui considérés comme des sauropodes à part entière par certains auteurs. Ces taxons basaux diffèrent cependant beaucoup selon les auteurs. La multiplication des analyses cladistiques n’a rien résolu puisque celles-ci n’ont jamais été comparées entre elles.

La découverte en 2008, par une équipe du MNHN, dans le Jurassique inférieur du Lesotho, d’un squelette de prosauropode articulé sert ici de base à une étude anatomique et systématique des sauropodomorphes basaux. De nombreux autres restes de dinosaures inédits du Lesotho appartenant aux collections du MNHN viennent compléter le matériel d’étude. Parmi ceux-ci, du matériel rapporté au prosauropode de Maphutseng et des fossiles attribués au genre Meroktenos sont entièrement décrits en détail pour la première fois.

Une comparaison critique et détaillée des analyses phylogénétiques antérieures a été réalisée en utilisant la méthode de cladistique comparée telle qu’elle a été formalisée par Sereno en 2009. Elle a permis de démontrer l’impact très important du choix des caractères et de leur codage sur la topologie des arbres. Suite à cela, un premier retour sur une liste compilée de 449 caractères a été effectué. Il a nécessité la vérification d’une matrice de 15 000 à 20 000 cellules, et plus de 1300 mesures. Ce retour aux caractères ont entraîné la suppression de plus d’une centaine de caractères, et la création d’une matrice inédite de 49 unités taxonomiques et 308 caractères. Les résultats de l’analyse phylogénétique de cette matrice, bien que préliminaires, soulèvent plusieurs points intéressants. Plusieurs clades, généralement retrouvés dans les analyses les plus récentes publiées par d’autres auteurs, n’apparaissent pas. En revanche, des clades qui n’avaient jusque-là jamais été retrouvés font leur apparition. Les différentes analyses pointent également du doigt le problème de l’origine des Sauropodomorpha, et relancent le débat sur l’origine du clade Sauropoda.

La région de l’oreille osseuse chez les Proboscidea  (Afrotheria, Mammalia) : anatomie, fonction, évolution

    le mardi 04 octobre 2016, à 14h00, dans l’Amphithéâtre de la Galerie de Paléontologie – Anatomie Comparée,

    devant le Jury composé des personnes suivantes :

  • M. Marcelo Sánchez, Professeur, Universität Zürich, Zürich (Suisse) , Rapporteur
  • M. Erik Seiffert, Professeur, University of South California, Los Angeles (USA) , Rapporteur
  • M. Pierre-Olivier Antoine, Professeur, Université de Montpellier 2, Montpellier,  Examinateur
  • M. Guillaume Billet, Maître de conférences, Muséum national d’Histoire naturelle, Paris, Examinateur
  • M. Romain David, Docteur, Max Planck Institute for Evolutionary Anthropology, Leipzig (Allemagne), Examinateur
  • M. Emmanuel Gheerbrant, Directeur de Recherche, CNRS, Paris, Directeur de thèse
  • M. Pascal Tassy, Professeur émérite, Muséum national d’Histoire naturelle, Paris, Directeur de thèse


La soutenance sera suivie d’un pot amical auquel vous êtes conviés dans le hall d’entrée du bâtiment de Paléontologie-Anatomie comparée (8 rue Buffon).


Résumé de la Thèse

Les éléphants font partie des rares mammifères capables d’entendre les infrasons et leur comportement locomoteur est unique. Ces singularités correspondent à des spécialisations de leurs organes sensoriels contenus dans l’oreille interne : la cochlée (audition) et le système vestibulaire (locomotion). Alors que la diversité actuelle des proboscidiens est très faible (trois espèces), ce groupe a été bien plus diversifié pendant les 60 millions d’années qui composent son histoire. Cette thèse étudie pour la première fois de façon complète la morphologie et la fonction de la région de l’oreille (périotique, labyrinthes osseux et membraneux) d’éléphants actuels grâce aux techniques CT scan 3D. De plus, les périotiques de quatorze genres de proboscidiens fossiles sont décrits afin de documenter l’évolution de ce complexe anatomique au sein de cet ordre de mammifères. Les résultats montrent que certains caractères de l’oreille sont très variables au niveau spécifique. Notre analyse inclut les plus anciens proboscidiens connus et suggère que la morphologie de la région otique a évolué graduellement pendant la première moitié de l’histoire évolutive du groupe et que le morphotype moderne éléphantin est déjà acquis chez les Deinotheriidae et généralisé chez les éléphantimorphes. Les inférences sur la locomotion et l’audition des taxons fossiles confirment ces observations. Ce travail permet ainsi de lever le voile sur l’évolution d’une région anatomique majeure, jusque-là méconnue chez un groupe emblématique de mammifères.

Paris, 29-30 septembre 2016

Lieu: Paris, Institut d’Histoire et de Philosophie des Sciences et des Techniques (salle de conférence), 13 rue du Four 75006 Paris

Participant.e.s:
– Thomas Bonnin ( University of Exeter)
– Renaud Fine (Université Grenoble-Alpes)
– Jean-Félix Gross (Université Lyon 3)
– Marina Imocrante  (Université Vita-Salute San Raffaele, IUSS, Université Panthéon-Sorbonne, IHPST)
– Jan Maršálek (Institut de Philosophie de l’Académie tchèque des sciences, Prague)
– Michelizza Marzia (Université Panthéon-Sorbonne, Université d’Urbino)
– M. Anthony Mills (University of Notre Dame)
– Romain Sauzet (Université Lyon 3)
– Églantine Schmitt (Université de technologie de Compiègne)
– David Waszek (Université Panthéon-Sorbonne, IHPST)

Conférencier.e.s Invité.e.s :
– Valeria Giardino (Université de Lorraine)
– Cédric Paternotte (Université Paris-Sorbonne)Programme:

Jeudi 29 septembre

À partir de 9h00 : accueil des participant.e.s

10h10. Conférence d’ouverture : Cédric Paternotte (Université Paris-Sorbonne), « Vices, vertus, consensus et succès scientifique »

Pause-café (10 minutes)
11:10 – 11:50 Églantine Schmitt (Université de technologie de Compiègne),  « Le problème de la décision dans les data sciences »
11:50 – 12:30 Romain Sauzet (Université Lyon 3),  « Valeurs épistémiques et activité scientifique »
Pause-déjeuner (1h30)
14:00 – 14:40 Jan Marsalek (Institut de Philosophie de l’Académie tchèque des sciences), « Transformations, dégradations, disparitions des objets scientifiques »
14:40 – 15:20 Renaud Fine (Université Grenoble-Alpes), « Ordonner la science dans une société démocratique »
Pause-café (20 minutes)
15:40 – 16:20 Thomas Bonnin (University of Exeter), « Utiliser des modèles en sciences historiques »
Vendredi 30 septembre
À partir de 9h00 : accueil des participant.e.s
10:00 – 10:40 David Waszek (Université Panthéon-Sorbonne),  « Lire les figures et les formules en mathématiques »

10:40 – 11:20 Marina Imocrante  (Universités Vita-Salute San Raffaele et Panthéon-Sorbonne), « Le débat actuel autour de l’applicabilité des mathématiques »

11:20 – 12:00 Jean-Félix Gross (Université Lyon 3), « Epistémologie et effet placebo »
Pause-déjeuner (1h30)
13:30 – 14:10 Michelizza Marzia (Université Panthéon-Sorbonne, Université d’Urbino) « Esprit et cerveau : localisation, causalité et contexte expérimental »
14:10 – 14h50 M. Anthony Mills ( University of Notre Dame), « Meyerson, Friedman, and Kant: the role of the a priori in science »
Pause-café (20 minutes)
15:10 – 16:10 Conférence de clôture : Valeria Giardino (Université de Lorraine), « Le rôle des artefacts cognitifs dans le raisonnement scientifique »

16h10-16h20 : clôture des RDIPS

Manifestation organisée par la Société de Philosophie des Sciences (SPS) et l’Institut d’Histoire et de Philosophie des Sciences et des Technique (IHPST) avec le soutien de l’ED Philosophie de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, l’EA Philosophie des normes de l’Université de Rennes 1, l’ED Concepts et Langages de l’Université Paris-Sorbonne et l’ED Langages, espaces, temps, sociétés de l’Université de Franche-Comté.

Comité d’organisation

Charles Braverman (Université de Lorraine, AHP)
Régis Catinaud (Université de Lorraine, AHP)
Anna Maria Dieli (Università degli Studi di Roma “Tor Vergata” – Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne)
Juliette Ferry (Université Paris IV Paris-Sorbonne)
Gabriel Giovannetti (Aix-Marseille Université)
Stefan Jokulsson (Université de Lorraine, AHP)
Victor Lefèvre (Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne)
Marie Michon (Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne)
Youna Tonnerre (Université de Rennes 1)

En collaboration avec Francesca Merlin (IHPST, Paris, vice-présidente « jeunes chercheurs » de la SPS)

Comité scientifique

Anouk Barberousse (Paris IV Paris-Sorbonne)
Soazig Le Bihan (Université du Montana)
Nadine de Courtenay (Université Paris Diderot)
Max Kistler (Paris 1 Panthéon-Sorbonne)
Thierry Martin (Université de Franche-Comté)
Cédric Paternotte (Paris IV Paris-Sorbonne)
Avec l’aide de Filipe Drapeau Contim (Université de Rennes 1)

Contact et renseignements pratiques: rdips.2016@gmail.com

14 Octobre 2016, Auditorium du Jardin Biopark (Paris 13ème)

This meeting is organized by Domenico LIBRI Eric WESTHOF, under the auspice of Aviesan, ITMO GGB – Genetics, genomics and bioinformatics – and BMSV Molecular and structural basis of life sciences – .

Guiding molecular events is one of the most important roles of the RNA molecule. From decoding of the genetic information by tRNAs, to choosing the right splicing junctions and to targeting modifications of rRNAs or specifically addressing machineries that alter the structure of chromatin or cleave RNA or DNA targets, complementary base pairing between segments belonging to the same or to different RNA molecules provides the required specificity and efficiency to guide and drive correctly these processes.

The goal of the symposium is to cover this broad area of investigation by presenting a diversified spectrum of molecular, genetic and cell biological approaches applied to a range of organisms. A poster session is scheduled to encourage discussion.
Please register (free of charge but mandatory) before 10th of October 2016, and submit your abstract before 27th September 2016.
https://rna2016.sciencesconf.org/

Dans l’industrie du casino en ligne, il est souvent dit que l’essentiel est de recréer le résultat du jeu, et non pas le jeu lui — même, son processus. Pour confirmer la validité de cette approche, les analogies suivantes sont effectuées. L’avion, par exemple, modélise, recrée le vol des oiseaux, mais l’oiseau a des ailes, et l’avion a une hélice. Et encore: la roue est très différente des pieds de manière significative, mais elle modélise la fonction essentielle des pieds – la fonction de mouvement… Du point de vue de la technique, c’est vrai, mais d’un point de vue théorique, c’est de s’éloigner du problème.

Réel et casino en ligne

Juste un vrai casino et un établissement de jeu en ligne. Dans ce casino se sent l’atmosphère de l’excitation, chauffée par tous les attributs indispensables du complexe de jeu-les visiteurs captivant les sons des machines à sous, la performance des artistes, l’agitation envoûtante du personnel de service. En mode en ligne, ce n’est certainement pas le cas. Mais est-ce moins le terrain de jeu en ligne? Pas du tout. Quand une personne joue à la maison, sans se laisser distraire par les détails connexes, il est plus facile de garder le bon sens, de ne pas « masquer ».

Les casinos en ligne viennent pour de l’argent

Qui est un client typique de casino en ligne? Qui joue aux machines à sous? Ce sont des gens qui espèrent résoudre leurs problèmes au détriment de l’institution de jeu. C’est – à-dire effectuer un dépôt et gagner-faire de l’argent facile. Attraper le bonus et retirer. Cela peut être fait facilement si vous vous connectez à casino-now.ch. Il y a un grand nombre de bonus qui attendent leurs chanceux. Beaucoup se souviennent (ou ont vu dans la présentation de diverses séries et films) du casino des années 90 et le début de zéro. Il est venu en premier lieu pour s’amuser, se détendre, « résoudre des questions ». Les casinos en ligne viennent pour de l’argent!

Stratégie

Pour gagner de l’argent, comme dans n’importe quelle affaire, une stratégie est nécessaire. Réussir à jouer sans elle est extrêmement difficile. Les créateurs du logiciel de n’importe quelle fente constituent un modèle mathématique de l’appareil, qui ne laisse pratiquement aucune chance d’être dans le plus.

Il est connu que la personne qui joue au casino en ligne doit résoudre des problèmes plus ou moins complexes et souvent développer une nouvelle stratégie de jeu. Par conséquent, ludoman doit former la capacité de résoudre les problèmes dans un temps extrêmement court et dans des conditions de stress émotionnel important.

La difficulté ici est la suivante. À la disposition du joueur, il n’y a pas de connaissance complète de toutes les situations possibles qui peuvent se rencontrer lors de la lecture de machines à sous. Par conséquent, peu importe combien de techniques et de méthodes d’action que le joueur connaissait, il peut toujours se faire attraper une telle situation dans laquelle toutes les techniques connues seront inutilisables et peuvent même être un obstacle. Par conséquent, lorsque vous jouez à des machines à sous dans un casino en ligne, vous devez former un mécanisme de jeu commun.

Mécanisme de jeu

Le mécanisme le plus optimal est d’aller au sommet local, c’est-à-dire quand il y aura un gain. Les gains seront une violation de la dispersion, et selon le modèle mathématique de la fente, il y aura une perte.

Dans tous les cas, le mécanisme du jeu de machines à sous est basé sur la théorie des essais et des erreurs. Son essence est l’exagération excessive du rôle de la recherche aléatoire et aveugle comme mécanisme de jeu. Un Gaming réussi dans ce cas, essentiellement, se résume à une chaîne d’essais, le processus de ce soi «disant « aveugle », il est inexcusable de ciblage et de prévoyance. La solution vient quand dans le processus de recherche «aveuglément  » tombent sur une bonne décision. La méthode des essais et des erreurs ou son expression-l’itération des options-continue de jouer un grand rôle dans le mécanisme du jeu.

6 juin, 10-12h: Denis Walsh (University of Toronto)

Rencontre avec l’auteur à propos de son livre : Organisms, Agency, and Evolution (2016)
Book chapters: https://www.dropbox.com/sh/fdv2h84dzgytdnx/AAB-pNlpALeTX9XYtL3zW271a?dl=0

Bibliothèque du service de Rhumatologie, 12e étage du Tripode, groupe hospitalier Pellegrin.

 

Mardi 7 juin, 12h30-13h30: Michel Morange (Centre Cavaillès, ENS Paris & UPMC): http://www.ihpst.cnrs.fr/membres/membres-associes/morange-michel

What does a ‘global history’ of biology bring to us?

(L’exposé sera en anglais, la discussion pourra se faire en anglais ou en français)

Résumé :
To write a global history of life sciences from Antiquity to extant research, from molecular biology to ecology and ethology is an impossible task, the promise to be inaccurate and wrong in many issues.
Nevertheless, the result is not without interest. It casts a new light on continuities and discontinuities in biological thought, and on the relations between biology and other scientific disciplines. It reveals the circulation of concepts and methods between biological subdisciplines, and between Society and biology. It shows the complex dynamics of biological transformations that gives biology its specific nature.

Salle : salle TP – Visio 2. Plan d’accès à cette salle : https://philosophiebiologie.files.wordpress.com/2015/01/plan-acces-visio-carreire.pdf

 

20 juin, 10h-12h : André Ariew (Department of Philosophy, University of Missouri, USA)

Sir Francis Galton, Reversion, and the Quincunx: The Rise of Statistical Explanations

Philosophical lessons learned from Galton’s statistical innovations about the nature of scientific explanation.

Salle de conférences de l’lBGC, site de Carreire zone sud, Université de Bordeaux.

Par Maureen O’Malley (Université de Bordeaux) le mardi 7 juin, à 11h00, dans la grande salle de l’IHPST (2e étage)

Dans le cadre du séminaire Philbio

Résumé: There has been a lot of discussion recently about the ‘nature’ of
holobionts (communities of microorganisms in all sorts of niches, including
the human body). I doubt this is a genuine metaphysical debate. I will show
you how certain notions of holobionts came about epistemically, and how
strong community-level notions of holobionts are being undermined as
mechanistic analyses come to the fore in this research field.